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Stratégie

Mes 3 conseils de succès en 2018La Newsletter de Fred#03

Frédéric Lasnier
Frédéric Lasnier
Chief Executive Officer

Edito

Aujourd’hui mes sujets ont pour but de vous amener des impacts très forts sur vos activités digitales. Ce ne sont rien de moins que mes 3 clés de succès de la période 2014-2018 que je vous livre là. Mon entreprise a doublé en taille et triplé en marge.

Découvrez les 3 conseils de succès pour réussir en 2018 !

 

Je vous aide à faire 3 choses mieux qu’avant :

#1. IT

Mieux diriger vos devs dans un vrai dashboard agile. Quoi que vous disent vos devs, ne les écoutez pas avant de m’avoir lu ! L’agile est la seule manière de travailler mais ça irrite tous les non devs chez vous. J’ai eu le même problème mais je l’ai résolu.

#2. RH

Ouvrez votre capital à vos meilleurs ambassadeurs salariés.

#3. Marketing

Savoir bâtir et actionner une politique d’alliances à l’international. Une dose de ringard dans un grand bol de growth hacking.

 

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#1. La satisfaction bruyante de vos équipes agiles contraste avec votre frustration discrète

Y’en a marre à la fin de cette incompréhension. Vos équipes de dev agile vous affichent la mine satisfaite de celui qui vient de vaincre l’Everest en tongs, vos responsables produits, un poil plus modestes disent que c’est fantastique ce que l’on arrive à faire avec autant de contraintes, vos vendeurs disent eux que la delivery n’avance pas et vos clients ne vous adressent plus trop la parole. Vous, vous voyez vos budgets dev grossir indéfiniment, vous multipliez les niveaux de contrôle et de sécurité, mais la confiance n’y est pas. Les delivery ne matchent que rarement vos attentes et votre frustration grandit encore plus vite que celle de vos clients. D’autant que vous avez accepté (aviez-vous le choix ?), toutes les transo agile que l’on vous demandait. Comment et pourquoi ces écarts se créent-ils ? Pourquoi ont-ils tendance à grandir ?

Il y a deux raisons.

1. La communication. Vous ne parlez pas agile. Vous ne comprenez pas les termes. Vous ne participez pas à la détermination des objectifs donc vous ne pouvez pas les suivre. Vous devez urgemment progresser car il n’y a pas mieux que l’agile pour faire du soft. Je peux vous aider, j’ai appris.

2. Vos devs sont agiles, vos products mangers vaguement lean… et vous par simplification, vous êtes waterfall et budgétaire. Comme tout le reste de la boîte d’ailleurs. Vous devez évoluer, mais dans le meilleur des cas, ça prendra 12 mois. Dans de grandes organisations, la tâche peut être quasi-insurmontable.

Comme on ne devient pas lean du jour au lendemain, je vais vous dire comment nous à Pentalog avons résolu cette difficulté dans un tryptique équipe de dev Pentalog, client, management Pentalog. Ça complique un peu le truc.

Il nous a fallu tordre un peu l’agile pour le rendre gouvernable à 3. Pour cela, il a fallu convaincre nos développeurs de croiser des infos qu’ils n’avaient pas nécessairement envie de croiser et que leurs collègues de la concurrence ne croisaient pas. Je parle des données de qualité technique (satisfaction, dette technique), de vélocité (la vitesse d’exécution des unités de base), de séniorité annoncée et mesurée (oups)… et plus dur encore à accepter de comparer entre projets (en centaines).

Bref, nous avons sorti un dashboard qui nous permet de piloter à 3 et de vous faire comprendre la vraie performance des équipes de devs, à 360°.

Si vous voulez un petit audit/coaching agile… Cornel Fatulescu et son équipe vous le feront. Si vous voulez converser avec moi et obtenir des cas pratiques, parlons-en.

En savoir plus sur le framework de performance agile

A la clé en tous cas… X2 en rentabilité. Rien que ça.


#2. Ouvrez votre capital à vos salariés les plus performants, les plus engagés, les plus porte-paroles sur les réseaux sociaux

Que personne n’aille imaginer que je proposerai des actions aux salariés qui ont le like facile. Ça ne suffit pas.

Je parle d’engagement plus profond, répété et associé à des résultats impeccables dans la mission principale. Le capital est l’unité de compte la plus forte dont dispose l’entreprise à long terme. En qualité de rémunération, le capital est préféré au cash immédiat par de nombreux salariés. Cette simple préférence est d’ailleurs un bon test de la durée sur laquelle le salarié s’engage.

A ma définition de ce que j’appelle l’engagement, j’ajoute effectivement la production de vrais messages sur les réseaux sociaux, qui démontrent la force et la justesse de votre offre. Ceux de vos salariés qui font ça sont également les recruteurs des meilleurs talents, dans un milieu digital où la cooptation est le moyen de recrutement préféré et des salariés et des entreprises. Savoir collaborer avec eux peut vous apporter la puissance de 10 DRH et 100 annonces sur des jobs boards.

Dans notre cas, nous en avons clairement tenu compte car tant la cooptation de nouveaux talents que l’attraction de nouveaux clients vont bénéficier de l’harmonie et de la sérénité qui se dégagent de salariés de votre entreprise. Si vous êtes entrepreneurs, associer vos salariés est tout simplement la meilleure décision que vous prendrez au niveau RH. La plus puissante en tous cas. Chez Pentalog, environ 6% des salariés sont actionnaires, ce qui signifie qu’il y a des associés de la maison mère dans chacune des nos unités, à quelque niveau que ce soit. Nous avons des chefs de projets actionnaires, des développeurs… et bien sûr de nombreux cadres !

Toute votre communication motivationnelle en bénéficie !

Juste pour vous démontrer l’impact de cet argument sur le marketing social, je vous joins cet article qui à l’époque a généré +de 10000 vues sur Linkedin, +500 sur nos blogs, et de nombreuses vues dans la presse. C’est un chiffre parlant !


#3. Alliance et partnership. Comment leur faire tenir enfin leur promesse !

Et là je vais vous parler d’un truc que vous allez trouver totalement vieux jeu. XXè siècle (en chiffres romains).

Un truc qui pour beaucoup d’entre vous n’a jamais marché : les partenariats.

Et pour tout vous dire, si ça n’a pas marché, c’est parce que vous n’avez pas su le faire… européens que vous êtes. Car cela a bien été une de mes découvertes américaines. Depuis l’année 2000 où j’ai alors timidement commencé à collaborer avec eux. C’est pour eux une très vieille fonction, prise très au sérieux, dans un pays structuré par son hallucinante géographie. Car du fait des distances, pour conquérir le pays, l’entrepreneur américain envisage extrêmement vite toutes les formes d’alliances : commerciales, technologiques, distribution, franchise… toutes !

3 clés de succès en 2018

Savoir bâtir et actionner une politique d’alliances à l’international.

Et puis, nous on est dans le digital. Ok ? Et le digital, le software ; c’est concentré où déjà ? Ben oui, au bord du Pacifique Nord. Ça fait loin pour votre responsable alliance européen.

Alors nous avons décidé de vous proposer un truc :

  • Un responsable alliance, disons… « seasoned ». 25 ans de métiers. Pour vous aider à construire vos objectifs en termes d’alliance et bâtir l’offre. 
  • Un secrétariat de l’alliance
  • Un marketing de l’alliance
  • Des correspondants américains de l’alliance

Si ça vous plaît, il va vous falloir lire tout l’article de fond !

 

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