Tous les étages de la pyramide de services Pentalog connaissent en 2015 une croissance élevée : 19% dans l’outsourcing informatique (périmètre historique), 25% dans le recrutement et l’évaluation de compétences techno (test01Coder), 75% dans le cloud, 100% dans le conseil (Pentalog Institute), 144% dans l’investissement financier (valo des participations de Pentalabbs). Dans tous les cas, ce sont les startups qui tirent cette croissance.

Contrairement à une idée répandue, les startups, elles payent plutôt bien…

startups - pentalog

Nos 3 Business Models sont au top en 2015… cela ne durera peut-être pas et il faut toucher du bois MAIS :

  • En outsourcing et consulting, les startups sont des clients très motivants pour les collaborations, favorisant un recrutement prestigieux pour l’image de la boîte. Elles payent un prix de marché et nos offres de nearshore haut de gamme favorisent une industrialisation de la R&D, robuste, et une optimisation considérable des coûts et des délais. Nous sommes les seuls à pouvoir leur assurer une continuité des opérations DevOps à un moment où elles ne sont pas encore en mesure de l’assurer. Nous performons donc à 2 chiffres sur ce modèle en 2015. Les mêmes remarques valent pour notre modèle de recrutement, incarné par test01coder.com qui bénéficie de cette dynamique.
  • L’investissement dans les startups (Pentalabbs), et en règle générale nos modèles financiers, sont validés dès 2015. La vente d’une startup à Cimpress (Vistaprint), ainsi que notre stratégie de JV et de BOT ont démontré leur efficacité. Je parle de la vente de Ausy Eastern Europe à Ausy dans ce dernier cas. Nous tirons plusieurs millions de ces 2 exits cette année et nous savons bien que toutes les années ne se ressembleront pas. Mais le modèle est définitivement validé.
  • Travailler avec les startups sur leur R&D favorise les stratégies de collaboration avec les états. En France, comme en Roumanie, nous avons contractualisé, soit en notre nom, soit pour nos startups, des financements et des subventions qui se chiffrent là encore à plusieurs millions, dont une partie revient au Groupe Pentalog. Sans la dynamique de croissance et la promesse d’élévation technologique que représentent les startups, ces contractualisations auraient tout simplement été impossibles.

Les grands groupes viennent startupiser leurs projets chez Pentalog … ou se startupiser eux-mêmes

Aujourd’hui, nous nous apercevons que l’offre que nous destinons aux startups, et qui a fait de nous le numéro 1 sur ce segment dans l’Union Européenne, séduit également certains géants industriels, désireux de s’appuyer sur des stratégies plus agiles, plus rapides et parfois même plus iconoclastes par rapport à leur positionnement stratégique courant. Le dogme et le langage des groupes européens et surtout français sont un obstacle conséquent dans une phase de mutation aussi profonde de la technologie et de la géopolitique. Digitalisation et mondialisation vont OBLIGATOIREMENT de pair. Chez Pentalog, on appelle un chat un chat et on ne fait pas de spectacle non plus. La digitalisation, ce n’est pas une philosophie ou une mode, ni un thème de soirée Arte ou de campagne électorale. C’est simplement la matrice du combat économique mondial moderne. La digitalisation n’est pas non plus une arme pour lutter contre la mondialisation, comme on peut le lire ou l’entendre. La digitalisation est le seul moyen de gagner dans le cadre d’une concurrence et d’opportunités mondialisées. Et nous proposons à ces groupes de leur mettre à disposition, et les stratégies, et les capacités de transformation, que nous utilisons nous-mêmes au quotidien, ainsi que les startups de Pentalabbs.

D’ores et déjà c’est un vrai sujet, avec 5 collaborations signées pour aider des groupes géants. Des co-investissements sont mêmes possibles dans les mois qui viennent.

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  • Lire plus d’articles de Frédéric Lasnier, CEO Pentalog.