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Externalisation IT

Ecommerce, Magento, Drupal, PHP, Dotnet : Après la signature de 5 contrats majeurs en 2012, nos clients vont dépasser 1,5 milliard d’euros de Chiffre d’affaires dans les plateformes que nous développons ou co-développons avec eux

Frédéric Lasnier
Frédéric Lasnier
Chief Executive Officer

 

Plus de 100 ingénieurs mobilisés chez Pentalog pour les meilleurs acteurs du e-commerce et du web français et allemand, les meilleurs softs, les meilleures plateformes, tout est entrepris depuis 2 ans pour devenir LA solution de croissance préférée des acteurs de croissance européens. Nous sommes en passe de réussir ce pari sur un secteur stupidement délaissé par les géants de l’IT.

Et des efforts, il faut en faire quand le nombre de développeurs PHP et des technos dérivées est évalué en France à 40% de la demande. Dans une conversation avec Marc Simoncini, le Taicoon bien connu du web français (Ifrance, Meetic, Sensee, Winamax…), il y a près d’un an, en marge du lancement de l’école des métiers de l’internet, nous arrivions à la conclusion que le web français prend un an de retard de développement par an ! Ce n’est pas une vue de l’esprit quand on sait combien d’idées germent encore chaque année dans les cerveaux des entrepreneurs du web. Il aurait ainsi fallu près de 2 fois le nombre des ingénieurs existants en 2010 pour réaliser tous les projets imaginés en 2010 et 2011. Malgré la crise (voir ce que dit cet article sur le manque de capacité dans les techno web) ! Certains me diront que la situation n’est pas meilleure en Angleterre ou en Allemagne. Certes. Mais à l’entrepreneur, ce genre de comparaison négative, ça lui fait une belle jambe ! D’autant plus que la rareté en question a pour effet de propulser le salaire du junior PHP à 30% au-dessus de son homologue JAVA au moment même où les acteurs du e-commerce voient leurs marges se réduire comme peau de chagrin.

Pour cela, la PeP (Pentalog Evolution Programm), s’est lancée un défi sympa en formant des dizaines de personnes à PHP et à ses dérivés en Roumanie (Ruby on Rails, Magento, Drupal, Python…), en Moldavie et au Vietnam pendant que les Delivery Centers de Pentalog recherchaient les meilleurs spécialistes de ces technos dans ces 3 pays.

Alors que les résultats sont là, grâce à cette petite centaine d’ingénieurs et que nous avons convaincus quelques-unes des pépites du web français (5 des 20 plus gros générateurs d’audience web en France) de venir chercher chez nous de nouveaux leviers pour leur pouvoir d’achat en ingénierie, de plus petits acteurs, tels qu’Easyflyer (bien sûr !), Sensee (qui rentrera bientôt dans les 20 j’en suis certain) ou Mylittelefashiongallery.com nous ont eux aussi rejoints. Nous travaillons aussi en Allemagne sur la Online Payement Gateway du leader mondial du logiciel. Hors de France toujours, une importante agence digitale européenne s’est lancée avec nous dans la mise en place d’équipes offshore. Récemment, nous annoncions la signature d’une plateforme s-commerce en Israël pour un géant mondial de la peinture et de la décoration.

Tout récemment, Pentalog Institute, notre département conseil a commencé à mener des prestations de due diligence technologique dans le e-commerce auprès de grands acteurs de la distribution et du e-commerce. Une société de distribution cotée vient d’annoncer une acquisition auditée sur sa plateforme techno par Pentalog Institute!

Y-a-t-il là les bases d’un vraie logique de part de marché sur ce secteur ? Pas facile de le dire. Quoi qu’il en soit, l’axe stratégique amorcé début 2010 s’avère étonnement performant pour Pentalog. Notre offre est arrivée à point nommé pour de nombreux acteurs en recherche de moyens d’industrialisation robustes dans un triple contexte de maturité sectorielle, d’explosion des coûts d’acquisition clients et de crise financière.

Au total, le Groupe Pentalog compte 15 références actives en 2012 dans le e-commerce et les services web qui généreront un CA représentant environ 13% du total des ventes. Ce chiffre n’intègre aucune activité web non marchande. Pour bien faire comprendre la pertinence de cette stratégie, j’ajouterai que nos activités dans le e-commerce ont représenté 45% de notre croissance en 2011. Ce dernier chiffre restera significatif cette année.

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