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Loading...Il n’y a que 3 choses qu’ils devraient faire ; résoudre les 3 painpoints incontournables des startups :
1. Apporter une aide décisive à la construction de l’équipe technique. En Europe il y en a moins de 5 qui sont capables de faire ça et 2 ou 3 dans la SV. Et il y en a un que je préfère aux autres 🙂
2. Construire un réseau efficient
90% des interlocuteurs dans les accélérateurs sont soit de juniors qui s’occupaient encore des commandes Nespresso il y a 6 mois, soit des papis qui avaient cru que l’on avait encore besoin d’eux (quoi qu’ils vont redevenir à la mode). +qques fonctionnaires attirés par le grand frisson, mais bon ils attendent quand même un peu pour démissionner.
Bref des gens qui n’ont jamais eu le moindre interlocuteur dans un fonds, n’ayant jamais construit le moindre contrat de partenariat ou même lancer une seule startup. Et ça prétend être utile à des startups ! Il n’y a pas 10% des permanents des accélérateurs qui ont été engagés dans des startups à forte traction, souvent 0. Par contre ils lisent plus TechCrunch et Robert Scobble que moi.
3. Aider la startup dans la structuration de son modèle digital de croissance, bref le couple stratégie/exécution marcom. Est-il utile que je développe ce point ? Il n’y a pas 10 accélérateurs en Europe qui sachent appuyer pertinemment leurs startups sur le sujet non plus. Là encore il y en a 2 que je préfère 🙂
Les temps sont trop durs pour continuer à voir ces professionnels de l’intangible continuer à plumer les startups sans réelles contreparties. LEAVE NOW! Un bon Co-working vaut 100 fois mieux qu’un mauvais accélérateur et coûte bien moins cher.
Cet article a été publié initialement, sur Pulse , sur Linkedin.
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