Pentalog réalise une croissance organique de 14,77% au T2, ce qui constitue sa plus faible performance trimestrielle depuis plus de 5 ans. La principale raison vient de l’arrêt progressif d’une plateforme d’envergure sur l’unité de Iasi. Ce client, frappé par la crise, a réduit drastiquement ses investissements. La dynamique commerciale de Pentalog a toutefois permis à ce centre de conserver une production élevée, proche de ses standards de long terme. Cette unité reste l’un des fers de lance de Pentalog en Roumanie. La croissance semestrielle se monte elle à 19,62%, ce qui constitue une performance honorable compte tenu du contexte économique et de la taille de l’entreprise. Pour mémoire, le Syntec numérique anticipe une croissance comprise entre 1 et 2% des dépenses de services IT en 2012 en France. Gartner, de son côté, envisage une croissance de 1% à l’échelle du continent et de 3% en France. Mais la stratégie pays de Pentalog paye : l’Allemagne, la Suisse et les pays germanophones continuant de tirer vers le haut les performances européennes. Dans une moindre mesure, la France maintient une meilleure performance que les îles britanniques et l’Europe du Sud.
Au chapitre des ventes, le trimestre se termine sur des performances remarquables qui structureront durablement les performances économiques du groupe. Pentalog a en effet signé la plus grosse affaire de son histoire, en Allemagne, avec l’un des plus importants fleurons de l’industrie européenne. Ce contrat exceptionnel fera travailler environ 150 personnes en vitesse de croisière. Il sera produit à Cluj, capitale de la Transylvannie (Roumanie). A lui seul, il représentera un progrès considérable pour Pentalog dans l’industrie allemande, seule opportunité de croissance significative en 2011 et 2012 en Europe. Mais le groupe ne s’est pas arrêté à cette performance exceptionnelle. 5 autres références offshore–nearshore sont également venues compléter le portefeuille client. Pentalog va en effet prendre en charge les développements de 2 nouveaux acteurs e-commerce (un français et un allemand). Dans les technologies embarquées, le groupe orléanais a signé avec une entreprise française pour la réalisation des couches basses d’un terminal de paiement wireless. De même, un industriel français, produisant des technologies embarquées pour la défense, le secteur médical, les transports, la sécurité et les télécoms a choisi Pentalog pour la réalisation des couches embarquées de plusieurs de ses produits.
Enfin, les activités de conseil (Pentalog Institute) s’accélèrent puisque 3 nouveaux clients ont sollicité Pentalog pour la réalisation de Due Diligence Technologique (pour un groupe coté), la gestion de projet en méthode Scrum, des audits de base de données et de système d’information. Ces activités à forte marge permettent à Pentalog d’augmenter ainsi ses possibilités de commercialisation, par de nouvelles activités à cycle plus court.
Au total, le Groupe Pentalog a gagné 8 nouveaux portefeuilles client ce trimestre, très proche du record du T1 2011 (10). La plupart ne sont pas encore en production à ce jour.
Alex
juillet 7, 2012 à 17:47C’est toujours très plaisant de lire ces communiqués, surtout vus de l’extérieur 🙂 Le développement des activités en zone germanophone me réjouit tout particulièrement : bravo ! A bientôt les Pentaloguiens…
Frédéric LASNIER
juillet 9, 2012 à 14:48Plus que 5 mois Alex, avant de revivre tout ça de l’intérieur 🙂